La 2cv del povero Brioult è stata ritrovata ... ma completamente carbonizzata
La 2 CV de Roger Brioult retrouvée calcinée
RITROVATA BRUCIATAl'ultima 2cv prodotta presso lo stabilimento di Levallois proprietà di Roger Brioult a cui è stata rubata i primi di marzo
è stata trovata bruciata ieri mattina, Giovedi, 3 maggio presso la La Roussière, all’Eure.
Quindi, un pezzo del patrimonio e della storia dell'automobile
in fumo per la stupidità dei vandali.
Brioult Roger, il proprietario, direttore di
Recensione tecnica e autore di Automotive Citroen (RTA)
aveva ordinato nel 1974 questa 2cv per essere sicuro di ottenere l'ultima
deudeuche della catena di montaggio della fabbrica a Levallois. Il 26 febbraio 1988, quando Citroën ha cessato la produzione in Francia (Ha continuato due anni in fabbrica portoghese Mangualde).
Infatti, come ha raccontato 2CV Magazine nella sua edizione n°74 maggio-giugno 2010, questa 2CV 6 Special Grigio Cormoran (KA telaio 302493), non è davvero l'ultima (non è mai stata immatricolata), l'ultima è una 2CV 6 Special Rouge Vallelunga, riservata per il marchio di travi per il suo parco auto.
Dopo l'entrata in possesso il 23 Mar 1988, è stata conservato nella sua proprietà in Gacé
(Orne) senza essere mai stata immatricolata, mostrava solo 5 km
sul contakilometri. Roger Brioult ha effettuato su dieci metri, la distanza necessaria per il plateau dal camion e l'archiviazione.
Da quel momento lei non si era Mai mossa...La dernière 2 CV produite à l'usine de Levallois et commercialisée appartenant à
Roger Brioult qui avait été volée début mars
a été retrouvée brûlée hier matin, jeudi 3 mai à La Roussière, dans
l’Eure. Voilà donc un morceau du patrimoine et de l'histoire automobile
qui part stupidement en fumée.
Roger Brioult, son propriétaire, rédacteur en chef de
la Revue technique automobile et auteur notamment de
Citroën, avait passé commande en 1974 pour être sûr d'obtenir la dernière
deudeuche à sortir des chaînes de l'usine de Levallois. Ce fut chose
faite le 26 février 1988 quand Citroën stoppa la production en France
(elle s'est poursuivie deux ans à l'usine portugaise de Mangualde). En
fait, comme le retraçait la revue
2CV Magazine dans son numéro
74 de mai-juin 2010, cette deux-pattes, une 2 CV 6 Spécial Gris Cormoran
(châssis KA 302 493), n'est pas véritablement la dernière assemblée
dans l'Hexagone comme j'ai pu le lire souvent dans les médias. L'ultime,
une 2 CV 6 Spécial Rouge Vallelunga, fut réservée par la marque aux
chevrons pour son Conservatoire. Celle de Roger Brioult est en fait le
dernier exemplaire produit à Levallois à avoir été commercialisé,
certificat de Citroën à l'appui. Mais peu importe. Après en avoir pris
possession le 23 mars 1988, elle fut stockée dans sa propriété de Gacé
(Orne) sans être immatriculée alors qu'elle affichait seulement 5 kms au
compteur. Roger Brioult ne l'a conduite que sur une dizaine de mètres,
la distance nécessaire pour la descendre du camion plateau et la
remiser. Depuis, elle n'avait pas bougé.
Questa 2 CV ha provocato una protesta in tutte le comunità e HomePage dei citroenisti, Club e Forum
Tramettendo e descrivendo lo stato di quel modello.
Ahimè, una settimana dopo aver subito ilfurto dell' auto, Roger Brioult è morto all'età di 90 anni.
Il Furto
Questa 2 CV è come un capolavoro o un lavoro d'arte.
Una macchina invendibili come un Picasso o un Renoir rubato
in un museo. Non poteva interessare una passione che avrebbe
contemplato segretamente senza mai essere stata guidata. Ma lei
ha concluso la sua vita bruciata, bruciataaaaa!. Come con tracce di DNA, è stata
identificati attraverso il numero di telaio. Di puro stupido vandalismo, una perdita enorme.Le vol de cette 2 CV avait provoqué un vif émoi dans la communauté citroëniste et deuchiste. Clubs et forums
avaient relayé l'information en donnant la description de ce modèle
neuf. Hélas, une semaine après avoir constaté la disparition de sa
voiture, Roger Brioult était décédé à l'âge de 90 ans.
Le vol de
cette 2 CV, c'est comme celui d'un tableau de maître ou d'une oeuvre
d'art. Une voiture invendable tout comme un Picasso ou un Renoir dérobé
dans un musée. Elle ne pouvait intéresser qu'un passionné qui l'aurait
contemplée secrètement sans jamais pouvoir rouler avec. Mais elle a
terminé sa vie brûlée, calcinée. Comme avec les traces d'ADN, elle a été
identifiée grâce à son numéro de chassis. Du pur vandalisme criminel et
stupide ainsi qu'une énorme perte et un formidable gâchis.